Pascal Perronneau, à la tête de l’entreprise familiale dijonnaise Apidis, créée en 1890, est décédé mercredi 6 juillet, à l’âge de 60 ans. Né au 54, rue de Larrey à Dijon, dans la maison de ses parents, il a grandi dans ce quartier avec ses deux frères et ses quatre sœurs.
Passé par l’école hôtelière pour cultiver sa passion de la gastronomie, il a ensuite pris le chemin de l’apiculture en développant l’entreprise familiale aux côtés de ses parents et de ses frères et sœurs.
Domicilié à Civry-en-Montagne, il a vu grandir ses enfants Éléonore, Julien, Gabriel et Aurélien, sans oublier Bastien qu’il a élevé et aimé comme son fils.
Son travail l’a rapproché de Séverine, sa collaboratrice depuis de longues années, avec qui il s’est marié en 2011. Jeune papi de Jules et Antonin, il se réjouissait de l’arrivée de sa petite-fille.
Ses proches se souviendront de sa générosité et de son sens du travail. « Son travail, c’était toute sa vie, c’est ce qui l’animait », partage sa femme Séverine.
Au-delà de son activité professionnelle, il était membre du conseil municipal de Civry-en-Montagne.
Pascal était toujours prêt à rendre service et répandait sa gentillesse autour de lui. Il aimait partager des parties de tarot et de pétanque avec sa famille et ses amis.
Ses obsèques ont été célébrées mercredi 13 juillet, à 10 heures, à l’église Sainte-Chantal de Dijon (source Bien Public)
Papa, tu nous manques déjà 🙏🦸🏻♂️❤️💫
Tu m’as fait devenir ce que je suis. Tu m’as appris et fait comprendre énormément avec ou sans les mots.
Tu me canalisais, me conseillais.
Tu étais celui pour qui je m’appliquais et pour qui j’ai appris et entrepris énormément de choses pour te rendre fier.
Pour que tu puisses compter sur moi.
Dès tout petit, je t’ai accompagné et observé depuis la cabine du Scania, sur les salons où tout le monde te connaissait, à l’usine, à ton bureau, en magasins, partout j’ai suivi tes traces.
Tu étais une tête de mule qui vivait par passion, tu étais déterminé
Tu ne te laissais pas abattre.
Tu n’avais pas peur. Tu étais courageux mon père. Jusqu’au bout, tu t’es battu comme un lion.
Tu resteras dans les souvenirs de beaucoup un bon vivant, un homme souriant et attachant, un exemple d’humanité et de loyauté en amitié.
Tu étais passionné, tu aimais ton métier : vendre du miel et toujours négocier. Ton travail s’était toute ta vie.
Tu as développé notre société familiale comme un roi.
Les surnoms que tu me donnais vont me manquer
Tes histoires nouvelles ou entendues des milliers de fois
Nos moments à deux
Tu vas me manquer papa
❤️🩹🙏💫🦸🏻♂️🐝🍯Un don est possible pour la recherche médicale :
Gabriel Perronneau