La Distribution Légale des animaux de compagnie (animaleries et jardineries) garantit le bien-être animal parce qu’elle assure la visibilité et la traçabilité du commerce des animaux de compagnie. L’amendement « Dombreval » propose la suppression de tous les points de vente du réseau de la distribution légale des animaux de compagnie en France à l’horizon 2024.
L’effet mécanique de ce texte aura pour conséquence de favoriser le commerce souterrain et illégal au détriment du commerce majoritaire actuel, visible et légal. L’ADDiLAC (Association de Défense de la Distribution Légale des Animaux de Compagnie) s’est constituée pour lutter contre cet amendement.
Son Président explique les raisons de cet engagement pour une protection animale raisonnée.
nous contacter: addilac.asso@gmail.com
Association de Défense de la Distribution Légale des Animaux de Compagnie ADDiLAC 22, rue de Fontenay 92 320 CHATILLON
Association de Défense de la Distribution Légale des Animaux de Compagnie. ADDiLAC
L’ADDiLAC est une association qui apporte la vision professionnelle de la protection animale dans le débat public.
Notre vision de la place de l’animal destiné à la compagnie dans notre société est :
- L’animal n’est pas l’égal de l’Homme
- L’Homme doit respect, fidélité, assistance et bienveillance aux animaux destinés à la compagnie
- L’animal est destiné à vivre aux côtés de l’Homme dans une relation asymétrique saine et respectueuse des besoins physiologiques de chacun.
- La réglementation est un outil de la protection animale.
Contexte et Raison d’être
En France, en 2021, la distribution légale des animaux de compagnie est assurée par un écosystème d’individus et d’entreprises structuré, professionnel, déclaré et réglementé par l’Etat. La dénomination de ce réseau de distribution légal est noyée dans le vocable « animalerie » qui est employé par le plus grand nombre pour parler en réalité de l’ensemble du commerce des animaux dont tout le monde s’accorde à dire que la partie illégale n’est pas acceptable. Cet amalgame crée la confusion.
L’amendement « Dombreval » – voté par les députés – acte la suppression de tous les points de vente du réseau de la distribution légale des animaux de compagnie en France à l’horizon 2024. L’effet mécanique de cet amendement aura donc pour conséquence de favoriser le commerce souterrain et illégal au détriment du commerce majoritaire actuel, visible et légal.
Cette situation est absurde car elle va à l’encontre du but recherché. Elle est le fruit de la dérive sectaire des mouvements idéologistes et extrémistes de la cause animale et de leur méconnaissance de la réalité du terrain. La Distribution Légale des Animaux de Compagnie (DiLAC) garantit le bien-être animal parce qu’elle assure la visibilité et la traçabilité du commerce des animaux de compagnie. Les députés qui ont voté la loi ont été victimes de cette confusion qui a sans doute été sciemment entretenue.
L’ADDiLAC s’est constituée pour lutter contre cet amendement.
L’ADDiLAC souhaite améliorer le bien-être des animaux de compagnie en favorisant la contribution de l’écosystème des individus et des entreprises professionnels de la DiLAC aux textes réglementaires.
Plus largement, l’ADDiLAC souhaite rétablir la vérité à chaque fois que cela sera nécessaire, dans la diffusion des messages liés à la protection animale et peser sur l’évolution de la place de l’animal de compagnie dans la société.
Les fondateurs
L’ADDiLAC est présidée par le docteur Jean-Pascal GIRAUD, Vétérinaire, qui travaille depuis 25 ans au service des animaux et des professionnels de la DiLAC. Il a une idée très claire des besoins pour continuer à améliorer le bien-être des animaux vivants en collectivité. Il a contribué à la rédaction de nombreux documents de références dont les Guides de Bonnes Pratiques des animaux domestiques et non domestiques. La société de formation qu’il anime est habilitée par l’Etat à dispenser des Attestations de Connaissances pour les Animaux de Compagnie d’Espèces Domestiques (ACACED) et des Attestations pour le Transport des Animaux. (TAV). Il pense que les orientations réglementaires et sociétales actuelles sont des menaces idéologiques insupportables qui pèsent sur l’équilibre des hommes et des animaux.
L’ADDiLAC est aussi administrée par le docteur Isabelle CAZALIS, Vétérinaire, Trésorière, qui intervient auprès des professionnels depuis 15 ans. Elle maîtrise parfaitement les rouages de tous les maillons de la filière, de la formation jusqu’au soutien après la vente. Elle a une expérience de plusieurs centaines d’audits et de missions de conseil effectués sur les animaleries. Son engagement à améliorer les conditions de vie des animaux témoigne de la finesse de son analyse de l’équilibre entre commerce et éthique.
Sébastien RUAUX, Secrétaire Général, est le troisième membre fondateur. C’est un acteur engagé de la cause animale qui milite depuis de nombreuses années pour la transparence et le pragmatisme dans le milieu de l’aquariophilie et de la terrariophilie. Il informe le grand public des enjeux de la protection animale – au sens large – grâce à des outils pédagogiques variés et particulièrement ludiques. Sa passion pour les poissons se lit dans les nombreux projets qu’il mène à bien pour le bien-être des acteurs de la filière comme pour la préservation des espèces et des milieux.
Les membres de l’ADDiLAC.
L’ADDiLAC rassemble tous les acteurs de l’écosystème de la DiLAC qui considèrent que les actions d’amélioration permanente menées depuis très longtemps par les professionnels et les services de l’Etat sont à même d’assurer au mieux le bien-être des animaux.
Les actions de l’ADDiLAC.
L’ADDiLAC souhaite faire entendre sa voix auprès du grand public, des médias et des élus. Elle va diffuser, par tous les moyens, le plus largement possible, la vision professionnelle de la protection animale.
L’ADDiLAC souhaite proposer des actions d’amélioration et peser sur les décisions de modifications des textes réglementaires. Ella va dénoncer les incohérences, les erreurs, les fautes, les contresens, les conflits d’intérêt qui pèsent sur notre vision de la protection animale.
Une réponse
Animalerie Maucourant Pro via facebook
L’amendement Dombreval c’est la vision rétrograde, incohérente, erronée, du bien être animal. Un manque flagrant d’objectivité. Merci au Dr GIRAUD et à l’ADDILAC.
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