Calais – Yannick Hamard, 45 ans, est un enfant du pays. Après une carrière dans de grands groupes, cet amoureux des animaux se lance dans l’animalerie. Tom&Co ouvrira le 27 février à la place de l’ancien Casa, près d’Auchan. Et entend travailler avec les associations locales.
Les produits sont arrivés dans les rayons du magasin de 600 m2 . Des accessoires, de l’alimentation (notamment en vrac), de la parapharmacie, et au fond des animaux vivants tels que les poissons, oiseaux, reptiles, cochons d’Inde et autres hamsters, qui arriveront au dernier moment pour leur éviter tour stress.
En tout, plus de 3 000 références seront disponibles sur place, sans compter les 15 000 figurants sur le catalogue en ligne, que l’on pourra venir commander en magasin. Car l’animalerie qui va ouvrir ses portes fin février fait partie de la chaîne Tom&Co, présente en France, en Belgique et au Luxembourg.
Calais sera le 29e magasin français. Et c’est Yannick Hamard, 45 ans, qui relève le défi, après avoir travaillé dans les ventes pour des multinationales comme Danone ou L’Oréal : « Je me suis toujours dit qu’à 45 ans, je ferais autre chose, pour moi, avec ma propre société », dit cet amoureux des animaux, qui en parallèle de sa carrière professionnelle élevait bassets, teckels ou encore poules, canards et perruches : « J’aime le côté apaisant du contact avec les animaux », dit le franchisé, qui travaillera avec quatre salariés : 3 CDI à temps plein et un CDD à temps partiel.
Dans ses recherches de franchise, le concept de Tom&Co l’a séduit : « On est énormément centré sur le service : on propose un dog wash, une sorte de douche pour chien, un salon de toilettage, on fait de la livraison à domicile », énumère le nouveau gérant.
Autre particularité de la boutique, un espace communautaire, destiné aux associations locales, où une ostéopathe animalière pourra venir proposer des consultations gratuites et ou le club de canicross viendra donner des conseils sur le matériel nécessaire à cette activité. « Tom&Co a décidé de ne plus vendre de chiens ni de chats, et préfère nouer des partenariats locaux avec des associations locales comme la SPA (Société protectrice des animaux) ou la LPA (Ligue protectrice des animaux). J’ai d’ailleurs rendez-vous avec la LPA la première semaine de mars pour voir comment ils pourraient intervenir. »