JAF logo SVG2022
NOUVELLE ETAPE - JARDILAND SE RESTRUCTURE ! | www.Jardinerie-Animalerie-Fleuriste.fr image 4

Nouvelle etape – jardiland se restructure !

4700 vues
Publicité - Pack Impact

Le groupe Jardiland entre maintenant dans une nouvelle phase active de restructuration. Depuis la  reprise  et le sauvetage par le fonds d’investissement L-GAM, Thierry SONALIER Président du Directoire veut se recentrer sur les métiers du commerce et donc, se désengager du périmètre de production non-rentable.

Après une période d’observations, d’échanges et d’audit, les décisions prises ou négociées actuellement avec les partenaires sociaux semblent être celles nécessaires et indispensables pour redynamiser et repositionner le leader français des jardineries. Une nouvelle phase délicate pour le groupe en cette fin de printemps !

 

DECISIONS DE FERMETURES 

Pepiniere D’ici l’été fermeront :

  • les pépinière du Thuilay, 28160 BROU – (Pépinières BORDET)
  • les pépinières de Blagon – 33138 LANTON

D’ici la fin de l’année :

  • le magasin Jardiland – Carré de soie – 69120 Vaulx-en-Velin

RECHERCHE DE REPRENEURS

Téléchargement (63)Le groupe Jardiland recherche activement des repreneurs pour les pépinières suivantes :

  • Pépinière Desmartis – 24100  Bergerac
  • Pépinières André BRIANT Jeunes Plants – 49180 St Barthélémy d’Anjou

 

UN NOUVEAU SIEGE A JOINVILLE-LE-PONT

Joinville Le Pont Au cours du dernier trimestre, le siège du groupe Jardiland actuellement  réparti sur 5 sites en France, sera  regroupé sur un unique site à Joinville-le-Pont où 170 collaborateurs piloteront l’avenir du Groupe. Le siège sera implanté dans un bâtiment  totalement rénové avec une charge locative maîtrisée.

 

UNE NEGOCIATION SOCIALE CONSTRUCTIVE

Cette indispensable restructuration semble se réaliser dans un dialogue constructif et le respect mutuel des partenaires sociaux, de la conscience partagée du contexte financier et surtout de la richesse humaine qui se trouve au sein du Groupe. Quelques 300 salariés sont directement concernés par ces mesures de restructuration. Pour le magasin de Lyon, les collaborateurs se sont tous vus  proposer un reclassement dans un autre magasin de leur choix.

Je ne peux que souhaiter à chacun des échanges fructueux pour le bien de tous – A suivre….

 

A PROPOS DE JARDILAND :

Jardiland Fondé en 1973, Jardiland est le leader français de l’univers du Jardin et de l’Animal de compagnie, avec un réseau de 204 magasins, dont 84 succursales et une implantation en Espagne avec 10 points de vente, dont 5 succursales. Le Groupe, qui propose à la fois toute la gamme des produits et services associés au Jardin et à l’Animal de compagnie, emploie près de 3000 collaborateurs en direct (environ 6000 avec les franchisés). L’enseigne Jardiland a réalisé un chiffre d’affaires de 720 millions d’euros en 2013. L-GAM est son nouvel actionnaire unique depuis le 31 janvier 2014. Jardiland est dirigé par Thierry Sonalier, qui en est le Président du Directoire.

La rédaction de JAF-info

La rédaction de JAF-info

Le site de presse en ligne JAF-info | Jardinerie Animalerie Fleuriste est une publication des Editions Média-Talents réservée aux professionnels Créé en 2011, il concentre plusieurs sources d’informations : Une information journalistique - Une veille par la curation d’articles publiés sur le web - Des échanges avec la communauté des professionnels de la filière pour l’essentiel Ce média inédit a pour objectif de diffuser une information plutôt économique et d’actualité en continu de la profession : La distribution du jardin, des fleurs et des Animaux de compagnie. Réactif, souple, facilitant les échanges, les partages sur les réseaux sociaux et les mises en relation, son but principal est de surligner les Talents qui composent la filière. 1er média gratuit en ligne des Distributeurs de la Nature ! Indépendance, transparence et confiance : Aucun actionnariat ou intérêt dans une société ou association. La publication ne vit que du soutien de ses annonceurs
Origine : Chronique (Original)
Signature : Luc NAROLLES – Surligneur de Talents ! – Nantes – 24/05/2014

3 réponses

  1. Jardiland taille les effectifs mais pas dans le Sud
    Publié le samedi 07 juin 2014 à 08h52

    L’enseigne de jardinage Jardiland, fondée en 1973, vient d’annoncer un plan social à l’échelon national. Il toucherait près de 520 salariés sur les 2 500 du groupe, et même près de 6 000 si on y ajoute les franchisés.

    Selon nos informations, les trois magasins du Var et des Alpes-Maritimes (La Garde, Fréjus, Nice) ne seraient pas touchés. Ils emploient à eux trois près de 60 personnes ainsi que de nombreux saisonniers.

    Jardiland, leader français de l’univers du jardin et de l’animal, dispose d’un réseau dit «intégré», dont font partie les magasins du Var, et de franchisés, comme celui de la route de Grenoble à Nice. «Le plan de restructuration qui vient d’être annoncé touche essentiellement le siège et deux pépinières en Dordogne et dans le Maine-et-Loire. Il ne concerne pas les magasins»,assure Alain Michaud, délégué CFDT. «Cette restructuration qui nous a été présentée implique 520 salariés, dont 400 pourraient être licenciés».

    «Des dettes contractées en 2006»

    À Nice, Michelle Martinon, gérante du magasin franchisé, n’exprime aucune inquiétude. «Tout va bien, commente la gérante. Nous nous portons bien, et sommes même en progression de chiffre d’affaires.»

    Fait notable, les jardineries du secteur de la route de Grenoble «profitent» à Nice de la fermeture récente du célèbre magasin Castelli, placé en liquidation. Si elle a laissé 36 salariés sur le carreau, cette fermeture offre un report de clientèle sur les autres enseignes.

    A La Garde, la gérante n’a pas souhaité commenter la situation, à Fréjus son homologue n’était pas joignable hier.

    Pourquoi ce plan social? Jardiland souffre, selon Alain Michaud, de la CFDT, «de dettes contractées depuis 2006».

    Fort de 204 magasins, dont certains issus de la fusion en 2006 avec le réseau «Vive le Jardin» (à l’image de celui de Nice), Jardiland a réalisé un chiffre d’affaires de 720 millions d’euros en 2013. L’enseigne est également implantée en Espagne.

    En janvier dernier, l’entreprise a été acquise pour 35 millions d’euros par un fonds d’investissement «L-GAM», majoritairement financé par la famille princière du Lichtenstein, qui a pris au passage 100 % des parts.

    La CFDT espère, selon Alain Michaud, « limiter les départs contraints lors des prochaines négociations et obtenir des conditions de départ plus satisfaisantes que celles proposées pour les salariés ».

    http://www.nicematin.com/derniere-minute/jardiland-taille-les-effectifs-mais-pas-dans-le-sud.1771817.html?

  2. Plan social chez Jardiland (CFDT)

    L’enseigne de jardinage Jardiland vient d’engager un plan social qui toucherait plus de 500 des 2.500 salariés de l’entreprise, a-t-on appris jeudi auprès de la CFDT, premier syndicat du leader français de l’univers du jardin. « Cette restructuration qui nous a été présentée implique 520 salariés, dont 400 pourraient être licenciés », a affirmé à l’AFP Alain Michaud, délégué CFDT.

    L’enseigne, qui traverse une mauvaise passe financière, a été acquise fin janvier pour 35 millions d’euros par un fonds d’investissement L-GAM, principalement abondé par la famille princière du Lichtenstein.

    « Cela touche à la fois les pépinières du groupe – dont deux ont fermé en juin et deux autres sont mises en vente – et le siège », a précisé le syndicaliste. Il explique que « toutes les entités du groupe sont séparées et que le plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) proposé pour les salariés du siège ne propose que le minimum légal ».

    La CFDT espère, selon lui, « limiter les départs contraints lors des prochaines négociations et obtenir des conditions satisfaisantes pour tous les salariés ».

    Fondé en 1973, Jardiland, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 720 millions d’euros en 2013, dispose d’un réseau de 204 magasins en France, dont 84 succursales.

    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/06/05/97002-20140605FILWWW00428-plan-social-chez-jardiland-cfdt.php

  3. Jardiland déracine ses berceaux en Périgord
    par Adrien Vergnolle

    Après la pépinière Desmartis à Bergerac, le groupe déménage son siège régional de Trélissac (24) en région parisienne

    Le groupe Jardiland déracine au printemps, en pleine saison des jardins. D’abord, c’est la vente des pépinières Desmartis, à Bergerac, berceau historique de l’ex-patron du groupe de jardineries, le Bergeracois Michel Conte. Et voilà que le siège social de Trélissac (comptabilité, ressources humaines, développement) déménage en région parisienne cet hiver. Depuis son rachat en janvier, ainsi va la nouvelle stratégie du groupe : se recentrer sur « les métiers du commerce » (les magasins sont maintenus), d’où la cession de pépinières, désignées par la direction comme le « périmètre de production non-rentable », et où elle ne veut plus se servir exclusivement. Et donc, le regroupement des services administratifs à la Cité du cinéma de Joinville-le-Pont, début 2015.

    Publicité
    « On savait que le jour où Michel Conte partirait, ce serait difficile pour nous », explique un salarié du site de Trélissac. En 1995, la famille Conte a installé là sa direction (située à Périgueux depuis 1984), alors que ces franchisés entamaient leur conquête de Jardiland ; le fils de Jean-Pierre Conte (connu pour avoir été le président de la CCI de Dordogne), Michel, a fini par racheter le groupe en 2007. Lequel a plongé fin 2013, miné par des secousses financières. L-GAM a investi 35 millions d’euros et tente de retrouver une certaine rentabilité. « C’est triste, parce qu’on est des historiques du groupe et on sera les premiers à disparaître… »

    Environ 26 postes menacés
    La vente des pépinières maison doit y participer. L-GAM s’est donné jusqu’à la rentrée pour céder Desmartis (110 salariés). Le premier bilan des recherches doit être présenté ce mois-ci. Deuxième étage de la fusée : le rapatriement des sièges régionaux (Trélissac, Lyon, Angers et Paris). Selon nos informations, de 270 salariés, le groupe réduirait son staff hors-magasins à 170. Le plan social doit s’achever le 1er novembre. À Trélissac, environ 26 salariés sont visés. Certains cadres savent que leur poste va disparaître, pour éviter les doublons à Joinville.

    D’autres se verront proposer une mutation, que beaucoup pourraient refuser. « Pour un couple dont le conjoint travaille ici, c’est difficile », s’inquiète le maire Francis Colbac. Surtout qu’aucun plan de développement n’est prévu pour les magasins.

    http://www.sudouest.fr/2014/06/03/jardiland-deracine-ses-berceaux-locaux-1574005-1733.php

Les commentaires sont fermés.

Top Une
Publicité - Pack Premium