Entre les fleurs, les restaurants , les escapades à deux ou encore les accessoires coquins, la fête des amoureux constitue un juteux business pour nombre de commerçants. Même les célibataires mettent la main à la poche.
Très prisées par les amoureux, les roses rouges voient leur prix s’envoler à la Saint-Valentin. (AFP)
Même si l’amour n’a pas de prix, il est de bon ton lors de la Saint-Valentin de célébrer sa moitié en lui offrant des cadeaux. Le 14 février, les commerçants seront donc à la fête. Voici quelques secteurs qui profitent de ce business :
>> Les fleuristes
Le bouquet de fleurs est le cadeau le plus répandu pour montrer à sa Valentine la ferveur de ses sentiments. Une aubaine pour les professionnels du secteur, qui réalisent leur deuxième plus gros chiffre de l’année, juste après la fête des mères. Beaucoup de clients privilégient les achats auprès d’un fleuriste de quartier, juste avant de rentrer chez eux.
Mais les commandes en ligne ont aussi leurs adeptes. Ainsi, pour la société Aquarelle, les ventes sont trois fois plus élevées au cours de la semaine de la Saint-Valentin qu’à l’ordinaire. Environ 30 000 bouquets vont ainsi être expédiés, pour un montant moyen de 41 euros (livraison comprise), soit 6 euros de plus qu’habituellement.
La rose rouge est la star incontournable du moment, puisqu’elle représente 40 % des achats. Du fait de la forte demande, son cours s’envole chez les fournisseurs. Ce qui a une incidence sur les prix de vente. « Pour la rose rouge, à l’automne, Aquarelle proposait le bouquet de 30 roses à 25 € contre 29€ actuellement » explique un porte-parole du fleuriste en ligne.
Extrait de l’article original
http://www.bfmtv.com/economie/business-saint-valentin-447910.html