Dans la périphérie, c’est pire. Des serres en verre d’Éric Kapala, patron de Limagne Fleurs, qui emploie 18 salariés, il ne reste que la structure métallique. Et quelques morceaux de verre tranchant qui menacent de se décrocher. À Montpensier, tout près, les serres de Jean-Jacques Chanteloup ont subi le même sort. Trois hectares de toiture de verre détruites.
Le patron de Fleurs et plantes d’Auvergne, 48 employés, garde pourtant le moral. « C’est un incident qui fait partie du métier. Mais il faut que nous puissions repartir très vite ».