Déploiement du projet stratégique "2025 by InVivo"

Acte 4 du Projet “2025 by InVivo”- Agriculture, Vin et Retail – Jardinerie Animalerie Alimentaire : Un programme ambitieux à découvrir !

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Paris, le 18 décembre 2018 – A la veille de la Convention du groupe InVivo qui réunira demain 1600 personnes au Palais des Congrès, découvrez les résultats financiers du groupe et l’actualité de ses métiers : Bioline by InVivo, InVivo Retail et InVivo Wine. L’ensemble des projets Invivo Retail vous sont particulièrement présentés par Guillaume Darrasse Directeur général.

Invivo se recentre sur l’agriculture, le retail et vin

Premier groupe coopératif agricole français, le groupe InVivo réunit 201 coopératives, qui rassemblent près de 300 000 agriculteurs. Son chiffre d’affaires 2017-2018 s’élève à 5,2 milliards d’euros. Thierry Blandinières, est le directeur général d’InVivo.

InVivo comprend trois pôles d’activités :

  • Bioline by InVivo (agriculture) – CA 340 millions d’euros – Laurent Martel, Directeur général
  • InVivo Retail (jardinerie et distribution alimentaire) – CA 658 millions d’euros. CA réseau 2.2 milliards d’euros – Guillaume Darrasse, directeur général 
  • InVivo Wine (vin) – CA 237 millions d’euros – Frédéric Noyère, directeur général 
  • 2 entités transverses dédiées à l’innovation – InVivo Food&Tech et InVivo Digital Factory.

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2025 by InVivo – Année 4 – Le groupe InVivo engage une nouvelle dynamique de croissance, au service de l’Intelligence Alimentaire

Thierry Blandinières, directeur général d’InVivo.

L’exercice 2017-2018 confirme la bonne dynamique du plan 2025 by InVivo. Le groupe réalise un chiffre d’affaires de 5,2 milliards d’euros et un Ebitda net de ristournes de 163,2 M€, en progression de 30 millions d’euros par rapport à l’exercice précédent, soit +22 %. Entre 2013 et 2018, l’Ebitda a augmenté de 125 millions d’euros et la performance économique du groupe est en avance sur les projections du business plan. Ces résultats confirment l’accélération de la croissance de l’ensemble des métiers. Une évolution favorable, alors même que la cession de Neovia qui devrait être finalisée début 2019, incite le groupe à revisiter son plan stratégique à long terme en se recentrant sur ses métiers : agriculture, retail et vin.

Des résultats en avance sur les projections du business plan

InVivo a réalisé cette année encore une belle performance économique avec un Ebitda de 251,2 millions d’euros avant distribution des ristournes reversées aux coopératives (88 millions d’euros), en croissance de près de 12 % par rapport à l’an dernier et un Ebitda net de 163,2 M€. Le résultat d’exploitation affiche un bénéfice de 107,5 millions d’euros contre 78,8 millions d’euros l’exercice précédent, soit une hausse de 36 %. Le résultat net consolidé s’élève à 46 millions d’euros, contre 34 millions l’an dernier.

Parallèlement, cette année est marquée par le renforcement des fonds propres et la diversification des sources de financement, comme en témoignent la levée de 50 millions d’euros sous forme d’augmentation de capital par Bioline Group et la nouvelle émission Euro PP de 87,5 millions d’euros par le groupe. Ces opérations démontrent la confiance des investisseurs/prêteurs dans le déploiement du plan stratégique 2025 by InVivo. Elles assurent un socle de financement à long terme répondant aux objectifs de développement de l’ensemble des métiers. Les fonds propres continuent à se renforcer pour atteindre 818,5 millions au 30 juin 2018. « Nous avons terminé l’année avec des résultats forts et nous avons atteint nos objectifs financiers pour 2017-2018 avec notamment une croissance annuelle de l’Ebitda à deux chiffres. Réalisés dans un contexte conjoncturel favorable, ces résultats confirment la forte croissance organique de l’ensemble des métiers, qui contribuent pour 16 millions d’euros à la réalisation de l’Ebitda. » indique Maha Fournier, Directeur administratif et financier du groupe InVivo.

Le groupe InVivo en pleine transformation pour anticiper la prochaine révolution agricole

« À l’aube d’une nouvelle révolution agricole qui va profondément transformer nos entreprises et les exploitations, nous nous devons, en tant qu’union nationale de coopératives, d’être à la pointe de cette transformation et de nous donner les moyens de maîtriser notre destin. Cela passera par la digitalisation et l’innovation, mais aussi le renforcement de notre politique RSE, en lien avec notre volonté de transformer nos filiales en sociétés à mission. Tout cela participant à la projection de nos métiers vers un nouvel avenir. » affirme Thierry Blandinières, directeur général d’InVivo.

Innover sur toute la chaîne de valeur

Créateur d’intelligence alimentaire, InVivo investit dans le recherche de solutions innovantes qui améliorent la compétitivité, la sécurité et la qualité des productions agricoles tout en préservant l’environnement et en proposant de nouveaux produits.

L’écosystème d’open innovation mis en place au sein du groupe, avec notamment InVivo Food & Tech, incubateur de projets food & beverage et, plus récemment, la création d’InVivo Digital Factory, accélérateur de la transformation digitale au service des coopératives, des agriculteurs et des métiers du groupe, montre l’ambition d’InVivo de faire émerger des solutions innovantes et responsables, de proposer des services utiles, de s’engager dans de nouveaux business models. Cette année, les équipes d’InVivo Food&Tech ont fait aboutir leur premier projet : La Plucherie by InVivo, qui propose des micropousses et herbes aromatiques pour la restauration, les chefs en particulier.

Renforcer la RSE et se projeter vers 2030

La préservation de l’environnement est également source de progrès et d’opportunités. L’agriculture positive fait partie des solutions qui permettront notamment de réduire le réchauffement climatique et d’enrayer le déclin de la biodiversité. Le déploiement de la RSE (responsabilité sociétale et environnementale) était l’un des cinq axes stratégiques du plan 2025 by InVivo. De nombreuses initiatives ont été réalisées ces dernières années pour concrétiser cette ambition, comme l’adhésion à EpE (Entreprises pour l’Environnement), association qui regroupe une quarantaine de grandes entreprises qui veulent mieux prendre en compte l’environnement dans leurs décisions stratégiques.

Par ailleurs, il y a deux ans a été créé InVivo Foundation qui soutient plusieurs projets agroécologiques en Afrique avec pour objectif de relocaliser la production sur ces territoires et de permettre aux populations rurales de vivre de leur métier. C’est donc très naturellement, alors que le projet d’élaboration du statut de société à mission est discuté à l’Assemblée nationale dans le cadre de la loi Pacte, qu’InVivo a fait part de son intérêt pour ce statut qui adjoint aux finalités économiques des entreprises des objectifs sociétaux et environnementaux.

Ce statut permettra aux filiales d’InVivo Group de s’aligner sur celui de l’Union, de faire valoir leurs engagements et de faire progresser les valeurs coopératives et mutualistes. Bioline Group serait la première filiale à adopter ce statut. « Le plan 2025 arrive à son terme et l’année 2019 sera consacrée à l’écriture du plan 2030 by InVivo avec le conseil d’administration et les cadres dirigeants en y associant nos collaborateurs et nos parties prenantes. Le plan 2030 by InVivo traduira le virage stratégique que nous prenons et définira les grandes décisions à prendre en matière de modèle économique et de gouvernance. L’enquête InVivo Scope effectuée auprès de l’ensemble de nos parties prenantes en octobre dernier pose les bases de cette réflexion commune en nous éclairant sur leurs attentes. » indique Thierry Blandinières.

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InVivo Retail redessine le profil du groupe InVivo en accentuant son positionnement sur les marchés B to C

Guillaume Darrasse, directeur général d’InVivo Retail.

L’acquisition de Jardiland est l’un des événements majeurs du groupe InVivo sur l’exercice 2017-2018. Avec cette acquisition InVivo Retail s’affirme non seulement comme l’expert du jardin et du végétal, mais se donne les moyens de développer un nouveau modèle, plus attractif, plus résilient et plus rentable : celui de la jardinerie alimentaire, en rééquilibrant le chiffre d’affaires autour de trois piliers : jardin/végétal, animalerie et alimentaire. Le développement de Frais d’Ici et l’acquisition de Bio&Co marquent cette volonté de devenir un acteur de référence en distribution alimentaire.

En parallèle, InVivo Retail expérimente avec So France Singapour un concept de bistro-épicerie ambassadeur de la gastronomie française.

 

Avec le rachat de Jardiland, on a un groupe Retail qui pèse en CA d’environ 2,3 milliards, essentiellement avec nos 3 enseignes de jardineries : Gamm Vert avec 1000 points de vente et 1,3 milliards de CA,  Jardiland 750 millions de CA et 175 magasins et Delbard 250 millions de CA et une centaine de magasins.

Guillaume Darrasse

 

À fin 2018, les réseaux exploitant les enseignes InVivo Retail affichent un chiffre d’affaires de 2,2 milliards d’euros. Pour 2025, InVivo Retail vise un chiffre d’affaires de 2,7 milliards d’euros. « L’alimentaire est notre principal relais de croissance. Nous nous positionnons sur un segment particulier, celui des produits locaux et bio. Créé il y a trois ans avec les coopératives agricoles, le modèle Frais d’Ici est aujourd’hui opérationnel et l’acquisition de Bio&Co nous apporte l’expérience dont nous avons besoin sur le bio.

Environ 150 jardineries devraient pouvoir proposer une offre alimentaire en 2025. » indique Guillaume Darrasse, directeur général d’InVivo Retail.

 

A côté, on a deux enseignes – deux concepts alimentaires. Un qui est basé sur l’offre produits frais et locaux : Frais d’ici et nous avons procédé il y a quelques semaines au rachat d’une petite chaine de magasin bio Bio&Co (6 et bientôt 7 magasins) – 25 millions de CA

Guillaume Darrasse

 

InVivo Retail accélère son développement sur ses trois métiers : jardinerie-animalerie, distribution alimentaire, mise en marché sur les circuits verts et redessine le profil du Groupe InVivo en accentuant son positionnement sur les marchés B to C. L’exercice est marqué par le projet d’acquisition de Jardiland.

InVivo Retail affiche un chiffre d’affaires consolidé de 657,7 millions d’euros.

Jardinerie : Gamm vert, Nalod’s

Après un démarrage très difficile au printemps en raison des conditions climatiques, la très forte activité sur mai et juin a permis à Gamm vert de clôturer l’exercice avec un chiffre d’affaires en très légère progression sur un marché national stable.

Avec plus de 2,5 millions de visiteurs uniques au printemps, saison du jardin, le site gammvert.fr est devenu le premier site d’enseigne jardinerie en e-commerce suite à la fusion en février 2018 des deux sites Plantes et jardins et Gamm vert.

Cet exercice est également marqué par la création de Gamm vert Synergies, l’entité qui rassemble les succursales, soit 90 magasins situés dans l’Ouest et le Centre qui étaient auparavant exploités par les groupes coopératifs Terrena et Axéréal.

La dynamique de conquête et de rassemblement des jardineries indépendantes autour de l’enseigne Delbard et des jardineries affiliées se poursuit.

 

Ce que nous souhaitons faire c’est revitaliser le modèle de la jardinerie !

le marché du jardin est plutôt “flat”. Le marché de l’animalerie, sa croissance est plutôt captée par d’autres types de secteurs, que se sont les animaleries spécialisées ou le e-commerce.

Les jardineries ne sont pas les leaders du marché du Jardin !

Les jardineries ne captent que 39% du marché du jardin et le reste part plutôt vers les GMS, GSA et les GSS.

La rentabilité des entreprises est plutôt faible depuis un certain nombre d’années et pour l’instant tout le monde a toujours du mal à réaliser l’activité toute au long de l’année. L’activité est extrêmement saisonnière avec un pic en automne et un très fort pic sur les mois mars/avril/mai.

On ne peut pas jouer la rentabilité de l’entreprise que sur 4 mois !

Guillaume Darrasse

Distribution alimentaire : Frais d’ici, So France

Le modèle de magasin Frais d’Ici associé à une jardinerie Gamm vert montre sa pertinence sur tous les tableaux. Le niveau d’investissement est moindre que sur un magasin autonome. Frais d’Ici génère une augmentation du trafic en jardinerie et une hausse de la rentabilité au m2. Trois magasins ont ouvert leurs portes sur cet exercice.

InVivo et l’ANAA (Agence de l’Alimentation Nouvelle Aquitaine) ont inauguré le 21 mars 2018, So France Singapour, le premier bistro-épicerie ambassadeur de la gastronomie française. Les premiers mois d’activité confirment l’attractivité de ce nouveau concept.

Le projet d’Invivo Retail – Jardinerie Animalerie Alimentaire

dans une “Entreprise en mission”

by Guillaume Darrasse

Le projet – En 2025 on voudrait être à 2,7 milliards et on voudra redonner de l’attractivité, de la productivité et de la rentabilité !

1A – Réaffirmer notre leadership sur le marché du jardin : Il faut qu’on arrive à introduire plus d’innovation produit sur ce marché et d’injecter les attentes du client, c’est la force qu’il manifeste dans l’alimentaire : la traçabilité, les productions responsables, du développement durable et le respect du producteur.

1B – Réaffirmer et être beaucoup plus pro et performant sur le marché de l’animalerie : On souhaite réfléchir à des concepts qui seraient en « Standalone » c’est-à-dire des vraies animaleries en dehors des jardineries.

1C – Amener du trafic : On va y associer une proposition alimentaire avec une entrée séparée pour bien visualisée le professionnalisme (produit bio ou local)

Le magasin type demain aura une répartition du CA de 40% sur la jardinerie/décoration, 30% pour l’animalerie et de 30% pour l’alimentaire. L’expérience du Gamm Vert de Auch qui avait une activité plutôt “flat”.  A la jardinerie qui faisait un CA de 2 millions d’euros, on a ajouté un Frais d’ici qui lui réalisait un CA de 1,2 millions d’euros. Depuis l’arrivée du Frais d’ici, le CA de la jardinerie monte tranquillement vers les 4.5 millions d’euros.

2 – Augmenter la productivité : On est dans un métier un peu moins organisé que peuvent l’être nos concurrents GSS ou GMS. Nous avons un gros travail de logistique, de système d’information qui est un préalable à toute la transformation digitale et un travail sur l’offre où on va développer des vraies marques distributeurs, des marques propres en construisant des filières sur des grands produits notamment dans les produits végétaux.

3 – La transformation Digitale : C’est un défi pour tous les commerçants et distributeurs. Un client veut qu’on soit partout (physique et digitale)

4 – Le développement : nous avons encore des zones où nos enseignes ne sont pas présentes à la fois en France et voir s’il y a des opportunités à l’étranger.

 

Invivo Retail  –  Projet Entreprise à mission :

1 – Offrir au client, jardinier amateur, la possibilité d’obtenir un jardin responsable sur l’exemple de ce qui a été fait pour l’agriculture. (traitement réduit)

2 – Créer une filière avec l’amont : On se doit responsable de faire des partenariats à long terme qui donne de la visibilité à nos partenaires de l’amont qui nous permettront d’avoir des produits responsables et qui répondent pleinement aux besoins du clients

3 – Les hommes : On se doit par la formation, par les opportunités, offrir un « escalier social », pour que des collaborateurs puissent un jour devenir patron de magasin.

Programme ambitieux mais tout à fait réaliste.

Toute l’équipe d’Invivo Retail est déterminée pour atteindre ses objectifs

Guillaume Darrasse

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Bioline à l’œuvre pour construire la 3ème voie de l’agriculture

Laurent Martel, Directeur général de Bioline by InVivo.

2018 est l’année de structuration de Bioline Group. L’entreprise a pris une nouvelle dimension avec la création en décembre 2017 de cette marque qui incarne son projet. Le chiffre d’affaires consolidé est passé de 212,9 millions d’euros en 2016-2017 à 340,6 millions d’euros sur cet exercice, soit + 60 %. La levée de fonds de 50 millions d’euros, réalisée en avril 2018 lui donne les moyens d’investir dans les secteurs stratégiques pour construire cette 3ème voie de l’agriculture, se positionner sur de nouveaux territoires de conquête et accélérer son internationalisation. Par son expertise sur les différents métiers : semences, fertilisation, protection des plantes, biosolutions, agrodigital et agriculture de précision, expertise-conseil, Bioline dispose des atouts pour proposer des solutions globales à chaque agriculteur. « Maintenant que Bioline Group est structurée et dispose des moyens pour se développer, notre principal challenge est de favoriser la transversalité entre nos différents métiers et d’identifier les innovations les plus pertinentes pour les agriculteurs. Nous sommes convaincus qu’au vu des besoins et des attentes en matière de consommation, il y a une place pour tous les types d’agriculture, qu’elle soit conventionnelle ou biologique, rurale ou urbaine. La voie que nous traçons repose sur notre volonté de promouvoir une agriculture mesurée, innovante, prenant en compte les attentes sociétales et la performance économique. » indique Laurent Martel, Directeur général de Bioline by InVivo.

Bioline Group affiche un chiffre d’affaires consolidé de 340,6 millions d’euros, contre 212,9 millions d’euros en 2016-2017, soit + 60%. Bioline Group a pris une nouvelle dimension avec la création en décembre 2017 de la marque Bioline qui incarne son projet de construction de la 3ème voie de l’agriculture
La contribution du pôle Semences au chiffre d’affaires consolidé s’élève à 122,8 millions d’euros. Les résultats des filiales Novasem (Italie), Tradisco Seeds (Hongrie) et DTI Sementes (Brésil) montrent que l’internationalisation devient un relais de croissance important.
Bioline Group a également augmenté sa participation dans l’entreprise brésilienne CCAB Agro. Elle détient désormais 54,9% de son capital.
Biocontrôle : Bioline AgroSciences affiche un chiffre d’affaires consolidé de 23 millions d’euros, en baisse suite à la sécheresse et les incendies en Californie qui ont détruit de très nombreuses cultures de fraises, un marché très important pour l’entreprise. Bioline AgroSciences a réalisé de nombreux investissements sur ses biofabriques : Livron (France), Clacton (Grande-Bretagne) et Oxnard (Californie).
Agrodigital : le chiffre d’affaires consolidé de SMAG s’élève à 12,2 millions d’euros, en progression de 9 % par rapport à l’exercice précédent. Cette croissance est portée par le volume des commandes de prestations de services. Trois nouvelles coopératives ont rejoint be Api : La Flandre (Nord), Terre d’Alliances (Ain) et la Dauphinoise (Isère), portant à 36 le nombre de coopératives affiliées.
Expertise-conseil agricole : Agrosolutions, Bioline Insurance Défricheur de nouvelles offres, l’une des équipes Agrosolutions a créé cette année Bioline Insurance qui propose aux coopératives une assurance récolte pour les agriculteurs.

InVivo trading confrontée aux défis de la filière céréalière

La filière céréalière reste confrontée à un défi de compétitivité. Pour autant, l’exportation reste indispensable pour la France. Pour des raisons pédoclimatiques, la France est une terre à blé depuis très longtemps et le restera. La production nationale permet à la fois de couvrir les besoins des industries agroalimentaires et de l’alimentation animale en France et d’avoir une place de leader à l’exportation. Les coopératives conservent ainsi une place importante sur ce métier. La plateforme export digitale InGrains, créée l’an dernier, doit permettre d’y parvenir mais devra s’accompagner d’une amélioration de la chaîne logistique, qui va du silo de la coopérative au port d’exportation. Un travail est en cours avec plusieurs coopératives.

 

InVivo Wine en passe de devenir un acteur majeur du vin à l’international

Frédéric Noyère, directeur général InVivo Wine

La stratégie d’InVivo Wine s’inscrit dans celle du groupe qui met l’accent sur l’internationalisation, l’innovation et le digital. Un socle solide a été construit avec le rachat de Baarsma Wines en juin 2017 et la création des filiales InVivo Asia et InVivo America. L’organisation d’InVivo Wine a été revue en partant des besoins des clients et structurée autour de trois business units : Grands vins, Distribution, Services. Le chiffre d’affaires consolidé d’InVivo Wine s’élève à 237,3 millions d’euros sur l’exercice 2017-2018. « Sur le marché des grands vins, avec Mestrezat Grands Crus et Armit Wines, nous avons la taille critique, ce qui nous autorise à penser qu’en élargissant notre gamme nous pourrons rejoindre les leaders dont les chiffres d’affaires avoisinent 100 millions d’euros. En distribution, Cordier reste la marque emblématique autour de laquelle nous allons consolider un portefeuille de marques et de châteaux. Sur le métier des services, nous disposons d’un potentiel industriel et des compétences pour développer notre offre en matière de gestion des marques distributeurs. » indique Frédéric Noyère, directeur général InVivo Wine.

Le chiffre d’affaires consolidé d’InVivo Wine s’élève à 237,3 millions d’euros. Un socle solide a été construit avec le rachat de Baarsma en juin 2017 et la création des filiales InVivo Asia et InVivo America au début de l’exercice.

Grands vins : Mestrezat Grands Crus, Armit Wines. Ces deux maisons renforcent leur positionnement sur le segment des « fine wines » via des partenariats avec des maisons prestigieuses détentrices de vins iconiques. Leur chiffre d’affaires consolidé s’élève à 46,9 millions d’euros.
Distribution : le pôle Distribution affiche un chiffre d’affaires consolidé de 155 millions d’euros dont 38 millions proviennent des marques propres. InVivo Wine a pour ambition de faire émerger des marques commerciales fortes communes aux différentes entités spécialisées dans la distribution.
Services : Wine Excel. Dotée d’une unité d’embouteillage très performante aux Pays-Bas, d’une capacité de production de 70 millions de cols, orientée vers les marques distributeurs, Wine Excel a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 35 millions d’euros.

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Définition  wikipedia – Entreprise à mission

Le terme « entreprise à mission » désigne les nouvelles formes de sociétés commerciales (à but lucratif) qui se définissent statutairement, en plus du but lucratif, une finalité d’ordre social ou environnemental.

Définition  wikipedia – EBITDA

Le bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement (BAIIDA) ou, en anglais, earnings before interest, taxes, depreciation, and amortization (EBITDA) désigne, en finance, le bénéfice d’une société avant que n’en soient soustraits les intérêts, les impôts et taxes, les dotations aux amortissements et les provisions sur immobilisations (mais après dotations aux provisions sur stocks et créances clients).

 

 

Luc NAROLLES - Surligneur de Talents !

Luc NAROLLES - Surligneur de Talents !

Surligneur de Talents ! Journaliste - Presse - Animateur de Communauté en ligne Fondateur des Editions Média-Talents et du site de Presse en ligne JAF-info | Jardinerie Animalerie Fleuriste - L'info pour les pros ! - 1er média gratuit en ligne des Distributeurs de la Nature ! - Veille, Informations et Communauté en ligne pour les professionnels ! Depuis 1989 au cœur de la filière ! Ancien dirigeant d'une boutique Fleuriste et d'une Jardinerie-Animalerie. - Président du Jury Fiacre d'Or | Meilleure Entreprise Fleuriste Française (2017-2019) - Indépendance et confiance : - Aucun actionnariat ou intérêt dans une société. - Activités politiques locales - + de 20.000 kms parcourus annuellement en train
Origine : Reportage – Interview (Original)
Signature : Luc NAROLLES – Journaliste – Surligneur de Talents ! – Paris – 19/12/2018
Crédit photo : Photo Générique ou logo société
Source :

Conf Presse LN 18/12/2018 et Communiqué de Presse

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